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Mathia Streed [I can't get a grip, but I can't let go]

Mathia Streed
Mathia Streed
Messages : 9
Points : 9
Date d'inscription : 04/07/2018
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Jeu 3 Jan 2019 - 14:04
Mathia Streed




Salut ! Je m'appelle Mathia Streed mais tu peux m'appeler Mathia, ce n'est pas un problème. Je suis un(e) femme et j'ai 19 ans. Pour ne rien vous cacher je suis célibataire et hétérosexuelle. J'exerce actuellement le métier de garde du corps et on me dit souvent que je ressemble à Asuna de SAO. Je suis un(e) défenseuse de la capitale !



« Si la balle est dans ton camp, c’est que le flingue est de mon côté.»


Plus d'infos

But : Je veux pouvoir marcher la tête haute, sans leur jugement, sans cette impression que le sang est resté sur mes mains. Je veux juste pouvoir être fière, ne plus me sentir coupable. Je souhaite juste garder le courage, pour ne pas abandonner. Voilà, je vais juste tenir encore un peu, c’est ça mon but sans queue ni tête.
Rêve : Ce qui me ferait le plus plaisir ? Cela semble évident. Que tout aille enfin bien, que le ministre ait son dû. C’est pour ça que je me bats, non ? C’est pas si comme si je pouvais rêver d’autre chose.
Peur : je crains bien trop de chose. Qu’on découvre que je suis une traîtresse, par exemple. Que je découvre qu’en voulant faire le bien, j’ai fais le mal. Je crains de vivre et de mourir, je crains le monde, je crains la solitude tout autant que je crains la compagnie. Je crains tout et rien. Je crois qu’on finit par faire avec.
Famille : Serena lizery [mère, disparue], Wilyan Streed [père, mort]
Autre :mon arme impériale est Murasame.


Caractère

Utopique-renfermée- parfois manipulatrice- déterminée - doute facilement - agile - fière - courageuse - sens de la justice - hautaine la majorité du temps - fidèle à ses idées - maladroite dans ses paroles - réfléchie - excellent contrôle de soit - froide - peu démonstrative - prête à tout pour ceux qu’elle aime -méfiante
En premier temps, on peut dire qu’elle est avant tout utopique. Du genre à imaginer que le meilleur peut encore arriver, du genre à croire qu’un jour tout ira mieux. Oui, ce genre de personne qui s’accroche à des illusions en pensant qu’un jour, se sera réalité.
Et renfermée, pas du genre causante sur elle et sur le monde, pas du du style à s’ouvrir quand tout va mal, au contraire.
Mathia peut aussi être manipulatrice. Elle est certes maladroite dans ses paroles, elle ne sait jamais quoi dire pour montrer son affection ou consoler, mais quand il s’agit de jouer sur les mots pour prendre plus ou moins le contrôle, elle y arrive. Très facilement. Elle sélectionne avec soin les bons mots, dans ce cas là.
Déterminée, bien sûr. Si elle ne l’était pas, elle aurait bien vite abandonné tous ses actes dans le but de détruire le régime. Elle n’abandonne pas, ou difficilement, quand elle fait quelque chose, elle y va jusqu’au bout.
Et pourtant, la défenseuse de la capitale est d’un naturel à douter facilement. Quand on a cru vivre dans un monde avant de découvrir que celui ci n’était qu’une illusion, c’est logique. Alors elle hésite souvent, pas toujours sûre de ce qu’elle fait, pas toujours sûre de réfléchir bien.
Mais aussi agile, grâce à sa formation au combat et à son affection pour tout ce qui demande d l’agilité. Elle possède ainsi un bon sens de l’équilibre et une agilité remarquable.
Fière d’elle même, elle connaît ses qualités sans mal et n’hésite pas à s’en vanter intérieurement. Ce qui explique aussi qu’elle est hautaine la plupart du temps, elle prend les gens de haut, souvent parce qu’elle se trouve au dessus d’eux. Mais il y a toujours des exceptions à la règle.
Courageuse de naturel, elle n’a pas froid au yeux, ou du moins, elle sait passer outre de la peur s’il le faut.
Mathia possède aussi un certain sens de la justice. Elle aime l’égalité et le respect, tandis qu’elle maudit le favoritisme. Ce qui explique pas mal ses penchants rebelles.
Fidèle à ses idées, elle n’est pas du genre à retourner sa veste facilement et rapidement, bien au conteraire. Une fois qu’elle a quelque chose en tête, elle va jusqu’au bout et ne s’arrête pas. Ses idées restent les même, bien qu’elle reste ouverte à la discussion. Quoiqu’il en soit, elle a l’avantage de ne pas changer d’avis sans raison..
Loin d’être impulsive, elle se montre bien au contraire très réfléchie. Elle pense à chaque action et analyse chaque conséquence possible avant d’agir.
A savoir que la jeune femme possède un excellent contrôle de soit et à moins de toucher un point vraiment sensible, vous ne la verrez jamais s’énerver. Elle est maître de soi sur chacune de ses actions et n’agira jamais sous le coup de l’émotion.
Elle est aussi assez froide, comme si elle était indifférente à tout. ce n’est pas le cas, bien sûr, mais il faut reconnaître qu’elle s’est construit une certaine armure, ce qui lui donne cet air assez indifférent à tout.
Peu démonstrative, quand elle apprécie quelqu’un, il ne faut pas s’attendre à de grandes déclaration d’amour vu qu’elle déteste ça. Mathia a tendance à penser que souvent son affection est sous-entendu, de sorte qu’elle ne dira jamais à voix haute, ou rarement, à quel point elle tient à untel.
Pourtant, elle est prête à tout pour ceux qu’elle aime, et quand je dis prête, c’est prête à tout. Elle pourrait sacrifier sa vie sans problème ainsi que pleins d’autres actes. Quand on aime, on ne compte pas, n’est ce pas ?
Enfin, il faut reconnaître que Mathia est d'un naturel méfiant. Vivre au sein de la capitale n’aide pas, aussi. Elle ne donnera jamais sa confiance très rapidement et aura la fâcheuse, ou pas selon comment on considère, de rester sur ses gardes, quoi qu’elle fasse.


Histoire

J’ai pas à me plaindre de mon passée. Je vivais dans une bulle, dans un confort où porter de luxueux habits en soie, manger des repas bien plus cher que tout ce qu’aura un honnête travailleur en vie, avoir des serviteurs qui nous obéissent au doigt et à l’oeil : tout ça était une norme, ma norme. La honte m’envahit à ce souvenir. Je suis ce qu’on appelle une riche, une aristocrate, une haut placée. Bref, une bourrée de pognon pour faire court.
Ansi, j’eus l’enfance on ne peut plus paisible. Tout me semblait parfait. Peut être parce qu’en apparence, tout l’était. Oui, il n’y avait rien à dire seulement je sentais ce quelque chose qui gâchait tout, je lisais dans le regard de ceux de la basse classe sociale ce quelque chose. Partout je le présentais. Dans les sourires, les rires, les gestes. Toujours cette impression qu’il manquait une pièce au puzzle de ma vie. Que je vivais mais sans toute la vérité, qu’une partie m’était dissimulée. Je ne saurai l’expliquer mais je savais tout au fond de moi que quelque chose clochait.
Et cette pensée me hantait, me tourmentait.
Mis à part ça, j’avais une vie sans problèmes. Je ne fus pas traumatisée par toutes ces bonnes manières, ces politesses à connaître. Pourtant il suffit de me connaitre un minimum pour savoir à quel point je méprise la haute société avec toutes ses règles enrobées dans de la soie.
Pourtant, ma vocation ne me prédestinait pas à devenir une fille d’affaire. J’affectionnais rapidement ce qui demander une notion d’équilibre. J’adorais grimper sur les toits pour passer d’un à un autre, dans une pirouette qui méritait des louanges. Oui, ça peut sembler bizarre mais il n’empêche que j’adorais. Je virvelotais dès que j’en avais l’occasion.
Mon père le remarqua bien vite et décida de m’apprendre à combattre avec des armes blanches. Ce qui est surprenant mais mon père était un particulier. Si j’adorais déjà voltiger, le faire avec des armes me parut d’un cran au dessus. Je me sentais comme destinée à finir une épéiste d'exception. Je possèdais un style très aérien, ne cessant de bouger à une vitesse stupéfiante. A chaque mouvement, à chaque acrobatie je me sentais vibrer. Comme si depuis mon enfance, j’étais faite pour le combat. Je dansais avec une chorégraphie que seule moi connaissait, je défiais toutes les lois de la gravité, une à une. Probablement que mon corps frêle, ma silhouette fine, ma souplesse étaient des atouts. Je n’y réflechissais jamais. Dès que débutait un combat, mon adversaire, son arme devenait mon unique préoccupation. Autour de moi, le monde s’effaçait. Toute ma concentration se centrait sur l’action de l’autre. Je ne pensais pas à quelle technique j’allais utiliser, ni quel mouvement j’allais faire, cela me venait naturellement. Encore actuellement malgré la tournure sinistre que prennent chaque bagarre, le moment  en lui même n’est pas désagréable.
Mon paternel tirait une certaine fierté de mon don. Je me rappelle sa tête, son air sérieux quand il disait “continue à t’entrainer, tu pourrais obtenir un rôle très important.” S’il savait à quel point il avait raison et à quel point il avait tort en même temps.
En toute objectivité, je suis douée. Pas une des meilleures certes mais je suis un redoutable adversaire potentiel à quiconque souhaiterait attenter à ma vie.
Je n’ai pas oublié le nombre de personnes venus pour me défier à la demande de mon père. Je les battais irrémédiablement. Quelque chose en moi me rendait différente dans le combat, sans doute la rage qui grondait en moi, l’instinct de survie ou encore juste le plaisir d’être dangereuse. Cependant, je restais jeune et manquait d'expérience. Quelques un bien plus entraînés que moi arrivaient toujours à prendre le dessus. Et jusque là, je n’avais pas rencontré quelqu’un qui se battait dans le seul but de survivre. Tout ceux qui me défiait n’avait pas cette haine, cette envie de vivre qui était ancrée en eux depuis leur enfance.
Cela arriva bien plus tard.
Je grandis donc en tant que combattante et potentielle générale. J’aimais les attentions de mon père à ce propos, même si des fois, je songeais que la présence d’une mère m'aurait aidait à être plus solide mentalement. Je ne connaissais pas le douceur et l’affection naturelle qui liait une mère à sa fille, je ne savais rien d’une présence maternelle, de ce qu’elle pouvait apporter. Et cette absence, ce manque me blessait cruellement. J’aurais aimé connaître ma mère, grandir avec et pouvoir la surnommer “maman”. Ou peut être juste que je souhaitais vivre une véritable affection pour quelqu’un. Mon père se comportait bien avec moi, n’avait aucun mouvement déplacé et ne s’énervait jamais. Il me couvrait de cadeaux et de louanges mais nos rapport restaient froids. Sans doute que ses nombreuses absences, faute à son rang, envenimait la situation. Quoi qu’il en soit, je n’ai jamais été réellement proche de lui, ni de personne à vrai dire; C’est là mon plus grand regret.
Pourtant, ce n’est pas faute d’avoir essayé. Je me montrais adorable avec les servantes, les gardes du corps et tout le personnel de notre demeure. Eux demeuraient tristement et banalement courtois. Sans doute à cause de ce fameux quelque chose. J’étais convaincu que cela avait un lien. Qu’ils ne montraient jamais leur véritables visages de peur que ce quelque chose intervienne. Cela m’insupportait de ne pas savoir la réalité ou du moins d’avoir l'impression de ne pas tout savoir.
Bref. L’événement perturbateur fit enfin irruption.
La journée se déroula comme tout autre journée et le soir, je m’endormis sans le moindre ennuis en tête.
Pourtant, cette même nuit là, un bruit violent me réveilla. D’instinct, je bondis sur mes pieds et filait voir, armée et en tenue de combat au cas où. Je me dis bien que j’étais un peu trop méfiante mais la suite des événements me donna raison. Des hurlements se firent entendre. Interdite, je me figeais tout à coup, ne comprenant ce qui se passait. Les cris paraissaient aigus et pleins de peur. Je me repris et fonçais.
Je surpris alors un homme dans une tenue sombre, sabre à la main qui s’en prenait aux gardes du corps, qui mourraient un à un, et qui souhaitait s’en doute s’en prendre aussi à mon père. Je n’en étais pas proche, ça ne voulait pas dire que je souhaitais le voir mourir. En plus, je savais me battre, aucune raison d’avoir peur. J’analysais le type, remarquant qu’il portait un chapeau de cowboy gris -ce qui me surpris au même titre que ça me donna envie de rire- et un foulard qui couvrait sa bouche. Accroché à son pantalon se balançait un petit pistolet qu’il devait garder en dernier recours.
Jugeant que j’en savais assez, je jaillis de ma cachette, l’attaquant par surprise. Surprise qui ne fut guère efficace, loin de là. Il se retourna et para l’attaque avec force. Je serrais les dents, encaissant le choc de ma lame contre la sienne. S'ensuivit alors une joute qui me fit déployer de nombreux effort. Il avait l'expérience et l’assurance mais je le dépassais en vitesse et mon énergie était sans faille. Finalement, je m’écartais, reprenant mon souffle. Si je ne pouvais le vaincre, je pouvais au moins en apprendre plus sur ses motivations et découvrir ses points faibles. Je me lançais donc dans une discussion avec un assassin qui en avait contre moi. Assez spécial.
«Pourquoi tu t’en prends à ma famille ? Qu’est ce qui t'intéresse ? L’argent ? Si c’est ça, je peux te payer pour que tu nous foutes la paix !»
Il planta son regard dans le mien, me dévisageant lentement comme s’il cherchait à résoudre un problème. Finalement, il abaissa son arme, ce qui me surprit considérablement car il me permettait de prendre l'avantage et se rengorgea avant de me répondre d’une voix grave et posée.
«La prime est assez intéressante pour que je fasse passer cette mission en priorité, oui, mais si je vous vise avec ta famille, c’est pour défendre tes convictions.»
«Hein ? Mais qu’est ce que tu racontes ? Quelles convictions ? Tu parles d’un meurtre ! Qu’est ce que ça a à voir ? »
« Oh c’est sûr, toi tu n’y vois aucun mal à ce système. On t’a bourré d’idées déjà faite et tu es convaincu que tu défends l’idéal. Pauvre petite. Le ministre...
«Stop !» le coupai-je.« Pourquoi parlez vous du ministre ? Qu’est ce qu’il vient faire là dedans ? Je ne comprends rien. Vous êtes juste cinglé.»
Je pris alors conscience que j’étais passé du tu ou vous. Gênée je me contentai de lui rendre un regard de marbre. Ce qu’il racontait n’avait aucun sens ! Et ma réaction n’était pas celle qu’elle aurait du être. Il me donnait une occasion en or de le tuer et moi j’hésitais, trop perturbée par ses dire pour réagir.
«Non, pas du tout. La société est folle, pas moi. Bon sang mais que penses tu ? Tu crois quoi, à la fin ?! Que je tue pour le plaisir ? Que ton père est innocent ? Innocent dans ce monde, ça n’existe pas ! T’entends ? Tu te dis quoi hein ? Que je suis qu’une raclure ? Que je… Que je suis un psychopathe ?»
«Oui !» hurlai-je. Je voulais le faire taire, lui ordonner d’arrêter. Et je pouvais. Il aurait juste fallu que je plonge mon épée dans son coeur, ça n’aurait pas été difficile. Mais je me contentais de jouer à son jeu, sans rien tenter. Je ne l’explique pas mais à ce moment, il me semblait que je frôlait la vérité que j’avais toujours cherché, que le secret qui en était resté un pour moi allait être dévoilé. Pouvait être révélé par ce type qui connaissait la réalité.
«Le psychopathe c’est le ministre. Mais qu’est ce qu’on t’as appris ?!»
«On m’a appris à me battre, à saluer correctement quelqu’un de haut placé, à gérer la finance, à tenir un couvert. Comme toute fille de la grande classe sociale ! Et qu’est ce c’est que cette foutu histoire avec le ministre ? »
Le visage de l’homme s’assombrit et j’y vus une sincère amertume et haine envers le ministre. Interloquée, je le contemplai. Dans ma tête résonnait la même pensée, en boucle tue le, tue le, tue le…. Mais ce qu’il disait trouver écho dans mon coeur. Et je n’arrivais pas à trouver le courage pour nier les faits.
«Le ministre, fit il dans un grognement, manipule l’empereur comme un pantin. Il corrompt le monde et la justice. Il incite ceux de la bonne classe sociale à abuser de leur privilèges. Il rend le monde affreux. Et personne ne peut rien lui faire puisqu’il a la protection de l’empereur ! Personne ne peut punir ce monstre de ses actes ! Alors, certains tentent de rétablir la justice, bien sûr !»
«Admettons. Et le rapport avec mon père ?»
Je tentai de condenser les infos dans mon crâne. Ce n’était pas normal que je le prenne aussi, pas normal que je ne lui dise pas qu’il se trompait. J’aurais du, comme tout citoyen au rang social élevé, penser qu’il se trompait, que c’était juste un fou. Mais je ne pouvais pas. Ses paroles m’atteignaient en plein coeur, révélait une facette sombre de ma réalité. Voilà ce qui m'avait toujours perturbé, intrigué sans que je l’explique. Ses dires étaient la réponse à la question que je me posais depuis toujours.
L'assassin eut une grimace dégoûtée. Il hésita avant de m’expliquer.
«C’est pas la personne que t’imagines. Il… Il utilise de son pouvoir pour exercer une pression sur les plus faibles. Son bâtiment à l’écart, il te raconte quoi à ce propos ? Tu sais seulement qu’il y a des femmes enfermées dedans qui…»
«Mon père ne me raconte rien.» m’empressai-je de dire pour ne plus l’entendre. «Mais lui il…»
Je m’interrompis, le “il ne me ment pas” sonnant creux dans ma tête. Je repris d’une voix résignée.
«Il ne m’a jamais parlé de l’existence de ce bâtiment.»
Je dressai la tête, une question muette dans le regard. D’une voix traînante, il m’expliqua l’emplacement du bâtiment. J’inspirai. L’air s’était alourdit, quelque chose me pesait sur les épaules. Je pris sur moi pour parler d’une voix forte mais sans surprise, elle trembla un peu.
«Je vais voir. Je vais voir si c’est vrai et si… »
Je m'arrêtai la gorge sèche. Je toussotai avant de reprendre, à peine plus ferme.  
« Si c’est le cas, je m’en charge, je le… »
Il hocha la tête, c’était pas difficile de deviner mes intentions.
Et bien sûr, bien sûr, c’était vrai ! Je n’avais jamais aimé mon père. Nous n’étions pas proches, je le voyais plus comme un inconnu mais… Mais quand même. C’était mon père. Mon père ! La vérité était une trahison à mes yeux. Jamais il n’aurait du faire ça. Dégoutée, je fis ce que j’avais à faire. Je maquillais son meurtre, puisque que j’avais tué mon père, en accusant l'assassin, je montrais des blessures, jouait la traumatisée mais la seule émotion que je ressentais était la rage. La haine profonde.  
La suite se passa dans un sorte de floue. Je fus promue générale, je reçu murasame, l’épée au coup fatal que j’appréciais aussitôt. Elle était légère, souple et pourtant la lame ne s’abimait jamais.
Je jouais donc un double-rôle, devant parfois recourir à des solutions ignobles pour que l’on me juge digne de confiance. En apparence, je protégeais le ministre, ses proches, son système. En vérité je tuais les gens qui le méritaient, me charger que les secrets de l’empereur ne le soit plus pour les rebelles et réflechissait à mon plan pour tuer le ministre.
J’acquis auprès des rebelles le surnom de “marionnettiste d’argent”, à cause de ma tendance à toujours porter des gants blancs et mon côte manipulateur envers la capitale.


Derrière l'écran

C'est quoi ton pseudo ? :Moony, Midnight, chais pas comment, la tyrannique.
Comment es-tu arrivé(e) ici ? : Le pouvoir est attirant Mathia Streed [I can't get a grip, but I can't let go] 1197508053
Comment trouves-tu ce petit forum ? : Aussi parfait que moi Mathia Streed [I can't get a grip, but I can't let go] 3595813099
Tu aimes les crevettes ? : ça dépend. Par contre j’aime pas les éplucher en tout cas.
Codes du règlement : auto-validation, kestu vas faire ?
Autre chose à dire ? : Martyriser les membres, c’est drôle. [sitrke]Comment ça j’ai l’air d’un tyran[/strike]

(c) Biket
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Staff
Staff
Admin
Messages : 42
Points : 75
Date d'inscription : 02/04/2018
Avatar : *
Jeu 3 Jan 2019 - 14:27
Staff

Félicitations !

Bon bah du coup je m'auto-valide xD

Allez, courage, le plus dur est passé !

On espère que tu réussiras à t'épanouir parmi nous et que tu vivras de nombreuses aventures à nos côtés ! Mathia Streed [I can't get a grip, but I can't let go] 769621332

Nous te conseillons d'aller très vite recenser ton avatar ici pour que personne n'usurpe ton identité et tu peux aussi aller recenser ton métier à cet endroit si tu veux avoir ta paye à la fin du mois !

Mais ne pars pas si vite ! Dans notre grande bonté, nous allons te guider à travers les méandres du forum afin de te préparer correctement à l'aventure. Si tu n'as pas d'amis, pas besoin d'un paquet de curly, tu peux tout aussi bien te rendre ici Mathia Streed [I can't get a grip, but I can't let go] 3464984157 Ensuite si tu souhaites avoir ta propre maison, une chambre au palais ou une chambre chez le Night Raid, va donc errer par là-bas Mathia Streed [I can't get a grip, but I can't let go] 2913242440 De plus, si tu ne sais pas trop comment commencer, trouver des partenaires ou que tu as du mal à sociabiliser, n'hésite pas à jeter un coup d'oeil par là et surtout, afin de nous conter toutes tes aventures, tu peux répertorier tes escapades juste ici ! Mathia Streed [I can't get a grip, but I can't let go] 3188596779

Si tu as des questions, il ne faut pas hésiter à te tourner vers le Staff nous serons ravis de t'aider Mathia Streed [I can't get a grip, but I can't let go] 769621332

Bonne aventure ! :superman:
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